En ce moment, les voyageurs responsables ne veulent plus passer les vacances dans le meilleur endroit de leur rêve, mais cherchent à rendre plus utile leur voyage aux biens de la communauté. À cet effet, le projet de tourisme solidaire a été concocté au départ par les ONG, mais maintenant, cette option est disponible dans les agences de voyages.
Découvrir les autres facettes de la ville
D’habitude, les touristes veulent de la plage, des montagnes, des activités nautiques, des musées et des monuments, mais en ce moment, ils veulent se mélanger dans la société et être acteurs de son voyage. Leur but est de connaître les phases cachées de l’endroit, mais de profiter de cette occasion de se mélanger avec les habitants, de comprendre leur train de vie, le pourquoi de leur idéologie, et d’en tirer une leçon de la vie. C’est un moment de découverte et c’est vrai que ce voyage ne ressemble plus à du tourisme, mais c’est comme une sorte d’investigation élaborée par les journalistes. Il y a de la solidarité dans les voyages, et c’est vrai que tout le monde n’est désormais pas apte à vivre dans cette condition. C’est pour mieux se préparer et peut-être trouver une solution de secours que l’agence laurent lalague veolia est là, vous pouvez établir un contact en ligne avec ses équipes.
La différence entre un touriste solidaire et le volontourisme
La différence est justement cette volonté, car en tant que touriste, vous avez le droit de choisir votre destination, mais vous avez choisi celle-ci parce que vous voulez connaître la vie quotidienne des gens là-bas. Mais quand on est volontouriste, on doit s’intégrer à une ONG et suivre les directives, d’après le rapport des enquêteurs, vous devrez donc voyager dans un lieu spécifique. Et puis, le volontariat doit suivre quelques formations pour bien s’intégrer dans la société et tirer les informations nécessaires afin de trouver une solution pour aider les habitants dans ce pays à avoir une vie mieux évoluée qu’avant.
La durée d’une mission d’un volontourisme peut durer un an, il serait indemnisé par l’ONG, mais le touriste solidaire n’a le droit de rester dans une ville que deux semaines.